Les uns avec les autres
Certains flanquaient les mains sur leur visage, ou bien sur leur bouche pour étouffer un cri. D’autres disaient c’est fou, je suis déjà allé au Bataclan. Et pour détourner l’horreur et dissimuler sa peine, un autre répondait « moi aussi, en 2005, pour voir Henri Dès ». Dans le salon, des larmes montaient, d’autres coulaient…